Archives mensuelles : novembre 2013

OTAVALO – IBARRA – QUITO
nov
15
2013

Découverte d’Ibarra, capitale de l’Imbabura, 2 225 m d’altitude, surnommée la cité blanche (en  raison de la  couleur des maisons et des bâtiments).

Nous allons  déguster une glace chez Rosalia Suarez où nous voyons son élaboration :  le glacier fait tourner une bassine en cuivre qui repose dans un grand bac à glaçons. Dans cette bassine le jus extrait du fruit est déposé, il fait tourner la bassine, racle  avec  une spatule, ajoute une cuillère de blancs d’œufs  et rapidement la mixture prend et devient une pâte homogène puis de la glace.

Visite de la ville puis nous allons au ferrocarril.

Retour à Otavalo où nous mangeons les restes : très bonne salade composée, œufs, pommes de terre sautées et nouveau départ au parc Bolivar puis à Sisa pour une connexion difficile. Une nouvelle fois nous admirons les lampadaires décorés.

Nous quittons les Cabanas del Rocio d’où, du pas de porte,  nous avons une vue sur le Cotacachi,, le Fuya Fuya et l’Imbabura. Comme il nous l’avait dit, Claudio vient nous chercher. Il a 20 minutes de retard. Il nous conduit en taxi jusqu’à l’arrêt du bus et il descend avec nous ; plusieurs vont passer qui sont complets. Enfin nous montons dans un qui s’arrête mais il ne fait pas le terminal de Quitumbe, il faudra donc changer à Quito. Le transfert se fait au pas de course en faisant comme  tout le monde. Le chauffeur nous montre une femme d’un certain âge qui va au même endroit que nous, elle doit charrier deux grands sacs , dans la foule nous la perdons rapidement. Nous suivons un autre jeune traversons la passerelle et nous arrivons juste à temps. Le sac de Yves sera chargé dans la soute, je devrais garder le mien et nous finirons le trajet debout pendant les ¾ du trajet restant. La femme quant à elle nous la retrouvons confortablement assise à l’avant du car !

Arrivés au terminal nous  prenons un repas bien mérité. Nous repartons à 21 h 30 dans celui pour Puenta Cuyabeno.

OTAVALO-LAGUNE DE CUICOCHA
nov
14
2013

Nous allons à l’agence pour réserver un séjour en Amazonie. Entre l’attente de Claudio qui est parti faire une course et la constitution du dossier, ajouté aux informations que nous prenons sur les Galapagos, nous  ressortons à 11h . Un petit expresso sur la place puis nous traversons les vieilles halles.

Retour à la résidentiale pour faire nos sacs pour la lagune Cuicocha. Nous sautons dans le car pour Cotacachi (0,45 $ pour 2) puis un taxi qui nous mène  directement à la lagune -

Nous commençons le tour à 13 h 15, nous sommes à 3060 m. Balade très agréable par un sentier aménagé qui surplombe la lagune – magnifiques panoramas. Nous sommes rapidement rattrapés par le brouillard et la pluie, il nous faut sortir les ponchos pour une vingtaine de minutes.

Comme nous avons fait le parcours des offrandes, le soleil réapparait. Une montée pour atteindre le point culminant.

Le tour est long, il est annoncé pour 5 à 6 heures. Malgré nos multiples arrêts photos, nous sommes dans les temps. Lorsque nous sortons du parc – vers 18 h – nous longeons une route où une femme mène un troupeau de vaches, l’une d’entre elles lui échappe. Yves tente de la contourner pour la ramener sans succès.

A 18 h 30, les lumières déclinent laissant apparaître de belles vues sur les sommets. Nous arrêtons un 4 X 4 et nous montons à l’arrière jusqu’à Cotacachi….ouille ça tape dur ! ici les gens conduisent rapidement et nerveusement.

Retour en bus jusqu’à Otavalo où nous remettrons du linge à laver et nous préparerons  notre repas.

OTAVALO – CAYAMBE – COCHASQUI
nov
13
2013

A peine sortis de l’hotel nous apercevons le bus et l’arrêtons sur la route nationale : nous devenons de vrais locaux. 1,50 $ pour Cayambe.

Nous parcourons la ville, nous passons d’abord par le cimetière puis par la fabrique « San Pablo » de bizcochos. Dans cette petite industrie familiale, la pâte est étalée sur la table, les ouvriers assis tout autour la pétrissent, la forment, la découpent. Le four à bois est à bonne température pour les recevoir.

Nous goutons cette spécialité que nous accompagnons d’une chocolat chaud et d’un jus d’orange pressé.

Nous partons à la quête d’un taxi pour nous amener aux pyramides  de Cochasqui. – site archéologique de la période préincaique qui témoigne des rites funéraires de la tribu des Quitu-caras, ancêtres  des Quitenos.

Nous avons lu qu’à cet endroit  il y a 15 pyramides construites de blocs de terre cuite superposés.

Nous sommes surpris dès notre arrivée sur le site de voir, non des pyramides apparentes mais des monticules d’herbage. Le guide nous explique qu’elles sont enterrées et recouvertes de végétation. Deux d’entre elles sont en partie visibles. Nous   visitons le musée constitué uniquement de pièces authentiques.

Un groupe d’enfants nous devançait sur cette visite et nous les avons retrouvé à la sortie.

La visite ayant été plus courte que prévu, nous demandons au chauffeur de nous amener à l’horloge de Quitsato, revendiquée comme étant la vraie ligne de l’Equateur. Le Guide nous fait des démonstrations à l’aides de cartes, d’un hémisphère, de  croquis de la voie lactée,de lignes d’ombre pour démontrer que c’est ici la vraie moitié du monde.

De retour à Cayambe nous faisons les courses aux halles pour le repas du soir, nous retournons aussi à la fabrique de bizcochos pour acheter du queso que nous avions bien aimé lors de la dégustation du matin, mais que nous ne pouvions  prendre  en raison de la chaleur.,

Un petit tour à Otavalo dès la descente du bus, nous passons aussi à l’agence qui est déjà fermée, Yves partira récupérer sa ceinture qu’il avait laissée pour refaire la couture pendant je je lirai les mails et répondrai à José « d’Equateur Passion » sur ses propositons de trek et de croisière pour les Galapagos.

Nous reprenons le chemin de la résidence où nous nous préparerons une belle salade-tomate-queso-oignons-avocat immense  et du steak, le tout arrosé d’un vin un peu sucré.

OTAVALO IMBABURA
nov
12
2013

Quelle angoisse toute la nuit ! hier soir, j’ai oublié mon appareil photo au restaurant. La femme de la résidence a tenté,  à plusieurs reprises, d’appeler le resto sans succès, Yves est allé voir sur place vers 22 h 30 mais c’était fermé. Dès 6 h 15 je pars de la chambre, anxieuse… l’ouverture m’est annoncée à 8 h par des employés, alors dans cette attente je traduis mon discours en espagnol, car je veux être présente avant l’arrivée de Clients..De minutes en minutes, d’heures en heures, on m’annonce l’ouverture. Enfin à 10 h un Responsable du groupement des boutiques appelle la Responsable pour savoir pourquoi c’est toujours fermé.  Il lui explique la situation et c’est là que j’apprends que mon appareil photo a été retrouvé et mis de côté.

Je me dirige donc, rassurée vers une cafeteria  et m’offrir un expresso. J’aurais perdu ma journée, mais enfin, c’est de ma faute même si je n’ai toujours pas compris comment cela a pu arriver. Enfin l’essentiel c’est que je le récupère, ce que je ferai à 11 h.

Pendant ce temps, Yves fait l’Imbabura.

Diego est venu le chercher à 5 h ce matin. Quel changement, celui-ci est vêtu de son habit traditionnel, chaussé de sandales. Aujourd’hui ce n’est pas lui le guide car il a cours à l’université mas il assure le transport jusqu’au départ de la rando.

Nous prenons le guide au passage, oh surprise, c’est une femme ! elle s’appelle Ambar.

Départ de la rando à 6 h 20. Nous attaquons directement par un chemin à pic, tracé droit que nous suivons pendant 1 h 30 puis nous empruntons un chemin de crêtes où plusieurs sommets se dessinent. Il faut maintenant escalader les rochers alors que le vent et le brouillard font leur apparition. Le froid se fait sentir… Nous atteignons le sommet au bout de 3 h de marche et nous n’avons rencontré personne.

Le froid aidant nous attaquons rapidement la descente et à 11 h 3O nous sommes arrivés au terme de la randonnée. Nous continuons cependant à marcher encore 1 h car le véhicule de l’agence n’est pas encore arrivé pour nous ramener.

Nota : Yves est revenu enchanté de cette journée… il s’est éclaté avec la Guide, elle lui a dit avoir monté avec lui en un temps record. Il m’a cependant raconté que c’était difficile ! N’empêche que pendant plusieurs jours il cherchait des yeux le sommet de l’Imbabura.

OTAVALO – PEGUCHE – Communauté Indigènes
nov
11
2013

Cette fois nous partons avec Miguel, le chauffeur (grace à notre cours d’espagnol,nous savons correctement prononcer son prénom) et Gabriel, notre guide pour visiter des Communautés Indigènes.
Nous commençons par la Communauté qui travaille à partir d’une plante qui pousse au bord de la lagune, genre de roseau qui s’appelle « totora ». Cette famille fabrique des nattes et autres objets qu’elle vend au marché d’Otavalo ou à d’autres Communautés pour 4 à 5 $. La fabrication de la natte nécessite 3 h de travail. Je participe à la tâche mais il faut avouer que je n’ai pas la même dextérité.
Nous nous arrêtons au bord du lac San Pablo pour voir la « totora » dans son espace naturel.
Nous suivons le chemin jusqu’à la cascade sacrée de Peguche. Les Indigènes viennent ici prendre leur bain rituel entre minuit et 2 h du matin et rendent hommage au soleil et se purifient dans l’eau. Gabriel dit qu’il vient de temps en temps et qu’il apprécie.  Il est   issu de 2 parents Indigènes Quetchua mais il n’a pas été élevé dans la tradition, ce qu’il  regrette… alors maintenant  il apprend le Quetchua à l’université et se laissera pousser la tresse lorsqu’il aura terminé le service militaire (non obligatoire)
Nous assistons à une démonstration d’instruments de musique qui sont fabriqués ici.
Une belle rencontre avec le tisserand de Carabuela. Il a 81 ans, prépare et tisse la laine de mouton en même temps qu’il travaille les champs. Un petit moment de tristesse en parlant avec lui car il a perdu sa femme il y a à peine 3 mois. Il se resaisit et nous fait une démonstration de la totalité de la chaine, du cardage au tissage de la laine. Yves choisira une écharpe bien chaude.
Nous prenons notre repas avec les Guides dans un restaurant de Catacachi et faisons ensuite les nombreuses boutiques qui présentent leur travail du cuir : beaux sacs, vestes, très belles chaussures et aussi des écharpes en cuir et laine très originales.
Nous finissons la tournée par la lagune Cuicocha « lac des Dieux»

                                                               

située à 3 100 et M d’altitude. Magnifique vue sur le cratère du volcan ; on se dit qu’il faudra revenir pour en faire le tour.
Nous mangeons au resto Sisa, au premier étage : internet pendant l’apéro chaud, spécialité de la maison à la mure et au rhum, Yves a demandé la recette.
En rentrant, nous voyons un troupeau de vaches mené par 2 personnes, quelques cordes qui trainent sur la route et voilà qu’elles traversent la panaméricaina.

OTAVALO – FUYA FUYA
nov
10
2013

A 8 h, nous attendons notre guide devant notre logement. Présentations faites : il s’appelle Diego, nous partons en 4X4 sur une route empierrée, un peu dégradée, d’une quinzaine de kms.

Le véhicule stationne devant  le lago Mojanda et nous attaquons la montée à travers des herbes hautes genre gispet . Ascension bien plus facile et bien plus courte que le Pichincha. Nous voici arrivés au sommet deux heures plus tard. Un groupe qui a pris une voie de contournement arrive quelques temps après ; ils parlent français, c’est un groupe de Marseillais dont l’un deux habite près de Foix.

Nous consommons le repas et la boisson que nous a apporté Diego puis nous reprenons la descente tranquillement.

Diego nous explique qu’il est un Indigène Quetchua, que le costume traditionnel pour les hommes est le poncho noir pour tous les jours et bleu pour les jours de fête. Le bleu de meilleure qualité coûte 200 $. Pour les femmes le collier de plusieurs rangs de perles dorées, jupe noire, corsage à dentelle et broderies, ceinture si faite main plus cher que celle tissée à la machine. Le signe de reconnaissance Quetchua est la tresse et il déplore que quelques hommes commencent à la couper, coupant ainsi la tradition.

Nous nous déplaçons jusqu’au point d’arrivée à la lagune et faisons quelques photos puis il nous dépose à El Rocio.à 13 h 30 .

Bonne douche, nous avons rougi malgré la crème solaire, ou était-ce hier ? Yves repart voir le combat de coq tandis que je fais une mise à jour des sorties car nous irons dans la soirée sur un site internet.

Promenade à Otavalo, pizza sur fond de musique de Salvadore Adamo et retour à l’hospidaje.

PS : j’ai porté mon petit chapeau toute la journée tant le soleil a cogné et il  a du plaire à la population d’Otavalo car je me suis aperçue que beaucoup de femmes portaient le même. Ai je lancé la mode ?

OTAVALO – MERCADO
nov
9
2013

Nous avons fait les courses pour  notre petit déjeuner à l’hospidaje, Yves est parti chercher le pain dès 7 h.

Nous nous rendons au marché des animaux. Quel dépaysement : veaux, vaches, cochons tenus en laisse ; cochons d’inde dans des sacs. Ils sont résistants à la chaleur ceux là ! ( Nono). Marché plein de senteurs : cochons rôtis, figues caramélisées. Nous détaillons tous les costumes tellement différents les uns des autres, ce qui veut dire que plusieurs communautés sont présentes.

Direction marché des artisans où nous commençons par déguster des jus de fruits frais « sin agua ». Nous voici plongés dans la plus grande authenticité équatorienne (environ 30 fois Mirepoix) et beaucoup plus coloré !

Repas rapide avec des produits achetés au marché.

L’après midi nous nous rendons sur les hauteurs de la ville voir «el lechero » arbre solitaire, le seul de la Province situé au sommet d’une colline.

Lorsque nous demandons notre chemin,  il nous est toujours répondu « encore 30 mn ». Cela ne manque pas, c’est toujours la même chose. Nous discutons avec des  paysans qui réalisent des sillons à la bêche pour semer du maïs : quel champ, quels sillons et ils ne sont pas très jeunes. Ici cependant la terre est de bonne qualité.

De 30 mn en 30 mn annoncé, comme je ne veux pas échauffer davantage mes pieds et l’ampoule que j’ai dessous pour la marche de demain,  nous décidons d’interpeller un 4 X 4 qui  nous mènera à l’endroit souhaité, heureusement d’ailleurs car le chemin est encore long. Nous monterons, comme les locaux, à l’arrière du véhicule.

Nous avons une magnifique vue sur le lago San Pablo auréolé d’un arc en ciel.

Le lechero domine la colline.

Lorsque l’on casse une branche de cet  arbre, du lait s’en échappe. La tradition veut qu’un enfant mort soit enterré à son  pied afin que le petit défunt soit éternellement nourri. Une personne assise au pied de cet arbre signifie qu’elle entrain de se recueillir sur un enfant mort. Nous redescendons en 4X4 sur la place des Ponchos. Nous regardons quelques habitations pour poursuivre notre séjour et nous prenons notre repas à « la Taberna »  restaurant à population  ‘jeun’s’ et musique de nos jeunes années. Comme  nous pouvons le constater , une fois de plus, ici  les générations cohabitent  sans apriori. Bon et bien nous prendrons un mojito pour l’apéro et à la fin du repas en demandant la cuenta, Yves dit au serveur « hay descuentos para jovenes ? »

Yves veut voir un combat de coqs situé non loin de là mais lorsque nous arrivons tout est terminé. Un homme nous montre ses spécimens et nous dit de revenir demain à partir de 14 h.

Ah oui, au marché d’Otavalo j’ai acheté un petit chapeau en feutre pour me protéger du soleil

OTAVALO
nov
8
2013

Voilà, changement de direction  OTAVALO qui, avec  ses 90 000 habitants, est situé à 2580 m d’altitude. Les Otavalenos sont peut-être les seuls Indiens à avoir su garder leur identité grâce au commerce ils ont su maintenir leur culture et leurs traditions.

Discussion  autour d’un petit déjeuner avec un couple de Français qui habite Sète. Nous échangeons sur nos visites respectives.

Trop chargés pour prendre le bus, nous nous rendons au terminal en taxi 8 $. Nous nous apercevons rapidement que nous sommes montés dans Taxi 2.

Il n’y a pas de car pour Cayambe, alors nous filons directement sur Otavalo.. Dans le car Yves est en grande conversation avec un Argentin

Nous longeons la Laguna San Pablo dominée  par l’Imbabura. Dès notre arrrivée à Otavalo, il y a beaucoup  d’animation.  Par taxi 1 $, nous nous rendons à notre nouveau domicile « Cabana Rocio ». Peur en arrivant, vu de l’extérieur, puis agréablement surpris par cette hospidaje : chalets entourés d’un très beau parc.

Installation rapide puis visite du  centre. En traversant le pont qui y mène, je suis abordée par une vieille Otavalenas qui vient vers moi et me demande de l’argent. Comme je lui refuse elle tend nerveusement la main vers l’étui de mon appareil photo que j’ai attaché à la ceinture, j’ai du la repousser et elle a un visage agressif qui m’a contrarié. Je suis restée sur mes gardes une bonne partie de l’après-midi.

Découverte  du centre. Nous entendons de la musique et nous tentons de nous rapprocher pour voir ce qui se passe. Nous voyons un défilé surtout d’enfants pour fêter un centenaire des écoles , passage à une agence dont le responsable s’appelle Georges, ce qui nous rappelle de bons souvenirs, nous le lui racontons que nous avions un accompagnateur au Chili qui portait ce nom et avec qui nous avions passé de très bons moments… Nous réservons un guide pour dimanche qui nous accompagnera au Fuya Fuya.Une pause chocolat, cerveza. En chemin à travers les rues , nos regards sont attirés par la décoration des lampadaires.

Le soir nous mangeons dans le restaurant où nous regardions la carte lorsqu’ un Français arrêté à cet endroit nous a dit que la cuisine y est bonne. Pour cette raison mais surtout parceque nous désirons partager une soirée musicale traditionnelle nous décidons de manger ici.

EGION QUITO – PAPALLACTA
nov
7
2013

Toujours sous le soleil,nous partons vers Papallacta. D’abord avec un taxi qui nous mène au terminal de bus pour 8 $ qui est très éloigné de l’endroit où nous sommes puis par bus pendant 2 heures, il y a 63 kms.

Nous arrivons à Papallacta accompagnés de 2 vénezuelliennes que nous retrouverons régulièrement par la suite. Un taxi 1$ par personne nous dépose à l’entrée des thermes. Superbe décor, très bon moment.

Nous passons d’un bassin à l’autre, certains sont un peu trop chauds.

Surprenante cette grotte à vapeur, il faut pousser la porte très fort et authenticité garantie.

Nous redescendons à pieds  jusqu’au village situé à 2,7 kms et interpellons un taxi pour nous amener à la lagune de Papallacta.

De retour au village nous mangeons de la truite, spécialité locale, dans un restaurant typique . Nous avons de la chance : un temps relativement bon pour les thermes et l’orage éclate pendant que nous mangeons. Nous n’avons que la rue à traverser pour reprendre le bus qui nous conduit à la gare routière et Yves s’est régalé avec la truite dont il avait envie depuis un moment.

Nous commençons à mieux connaitre les réseaux de Quito, nous parcourons donc le trajet retour en bus  -pour 1$ au lieu de 8 pour un taxi. Et puis nous  partageons ainsi la vie des locaux. Nous aurons tout le trajet une conversation en anglais avec un Equatorien qui explique que beaucoup d’Espagnols viennent ici pour travailler.

Demain départ pour OTAVALO , la Residentiale où nous avons prévu de séjourner ne possède pas internet, il faudra donc être patient pour d’autres nouvelles.

REGION QUITO – MIDAD DEL MUNDO
nov
6
2013

Qu’il est bon de prendre le petit déjeuner au soleil déjà très chaud à 8 h.

Nous prenons quelques renseignements auprès de l’agence sur les prochaines activités à faire notamment pour l’Amazonie et éventuellement les Gallapagos.

Départ en bus pour la Mitad del Mundo 0.45 $ pour deux pour 1 h de trajet.

Nous nous rendons, par un sentier d’environ 2 kms , au cratère de Pululahua. Nous suivons ensuite la direction du mirador par un autre chemin que nous avons suivi sur un dénivelé d’environ  400 m.

De retour à la Mitad del Mundo, longitude 78° 27’ 08’’ – latitude 0° 00’00’’ Nous entrons sur le site par une porte sans indication et partons prendre des photos de la ligne de la moitié du monde : un pied de chaque côté. Nous nous rendons compte que cette porte ouverte n’était pas l’entrée, nous nous y rendons donc  pour nous acquitter des  frais d’entrée. Les gardes ont bien rigolé de nous voir sortir pour  re-rentrer payer.

Nous prenons l’ascenseur dans la tour surmontée d’une boule qui  représente la terre, en redescendant par les escaliers nous découvrons le musée d’ethnologie. Nous visitons ensuite les pavillons Francia, celui des insectes, des photographies des sites d’Equateur.

Nous dégustons un délicieux chocolat et un grande cerveza pour Yves dans un bar restaurant où nous avons été racolé par un Haitien avec lequel nous avons parlé un moment Français. Quelques boutiques d’artisans où nous avons acheté un souvenir du milieu du Monde pour les petits bouts et nous nous dirigeons vers le musee de Inti Nan là où passe la véritable ligne de l’Equateur. Comme précédemment nous pénétrons par une porte entrouverte et commençons à prendre des photos lorsque un garde s’avance vers nous muni d’une matraque. Je lui dit non non de ne pas nous frapper, il rigole…Il ne comprend pas pourquoi nous avons pu rentrer alors que c’est fermé mais il se prête au jeu et fait des photos.Nous reprenons le car en sens inverse puis à pieds jusqu’à l’hotel mais après un tour du parc nous prenons un taxi.

Nous n’avons plu le courage de retourner à la Calle de la ronda où nous avions prévu de manger ce soir alors nous mangeons sur place