Archives mensuelles : novembre 2013

REGION QUITO – PICHINCHA RUCU
nov
5
2013

Randonnée du Rucu Pinchincha – départ à 8 h 30 par le télépherico.

Nous sommes les seuls touristes à la gare. Nous prenons les billets 8.50 $ A.R et nous montons à 4 100 m en deux temps trois mouvements. La journée a commencé bien ensoleillée à 6 h du matin mais des nappes de brouillard montent de temps en temps ce qui gâche le point de vue sur Quito. Le temps de boire un café et d’acheter des empenadas pour le cas où nous nous perdrions et nous attaquons la randonnée.

Nous montons tranquille sur un sentier et nous sommes étonnés de rencontrer une multitude de plantes à cette altitude. Lorsque nous arrivons au pied du sommet, il doit rester environ 400 m de dénivelé, nous longeons les barres rocheuses par un sentier balcon au milieu d’une faune variée et inconnue.

Nous attaquons les difficultés lorsque , en chemin deux aigles se posent à une vingtaine de mètres pour boire dans un trou d’eau. La montée est très raide … Arrivés à un petit col surgissent deux jeunes qui sont montés par une autre voie, l’un est complètement épuisé tandis que l’autre grimpe comme un cabri. Il encourage son coéquipiier en lui disant « on monte vite au sommet quick quick et on redescend ». Pour rire Mireille lui répète « quick quick ».
Nous continuons cette progression et il nous suit d’un peu loin lorsque le premier revient du sommet, il explique que la voie est diffi-cile alors il précède Mireille pour lui indiquer le chemin et je suis de prêt.

Nous arrivons au sommet avec juste le temps d’admirer le panorama car la brume vient rapidement tout recouvrir. Nous grignotons rapidement et reprenons la descente toute aussi scabreuse, un passage trop difficile nous oblige à remonter et à changer de voie, rien n’est tracé. C’est alors qu’arrivent à nouveau ces deux jeunes qui nous accompagnent pour la descente. Nous leur disons de ne pas nous attendre et de continuer leur chemin.

Dès que le terrain est plus sûr, nous cheminons d’un pas rapide car nous ressentons la fatigue, les mâchoires douloureuses Je dis à Mireille que je finirais bien la journée avec une douche et au lit jusqu’à demain matin. Cette douche cependant salvatrice, le retour à 2 800m nous remet en bon état. Nous prendrons notre repas sur place et je ne tarderai pas à aller au lit.

 

QUITO COLONIAL
nov
4
2013

Vue depuis la fenêtre

Nous commençons notre journée par un petit déjeuner à l’auberge Inn où nous séjournerons jusqu’à jeudi : : buffet avec jus et fruits frais, œufs et tout ce qu’il faut pour préparer une bonne journée.Nous partons ensuite à la découverte du Quito colonial situé à 500 m à pieds de notre habitation. Nous passons par la basilique pour aller ensuite vers la « plaza de la independencia ». Quelle effervescence : tribune officielle au balcon , musique et chants, gardes à pieds et à cheval. La place est noire de monde. Je tente une traversée de la foule et me retrouve au premier rang où je vois beaucoup d’enfants en costume d’école ; En fait, tous les lundi a lieu ce rassemblement dans une ambiance très festive et les enfants chantent l’hymne national.

Lors de la poursuite de notre visite, nous sommes abordés par un petit homme qui nous propose de nous servir de guide pendant 1H . Après négociations l’affaire est faite et nous voici tous les trois à parcourir la ville. Il est très drôle notre guide, il nous dit « je m’appelle Henri » il a une grande joie de vivre et beaucoup d’énergie.

Nous visions les églises San Francisco, l’iglesia Santo Dominique et là il nous chante «Dominique, nique, nique….) une messe est dite l ors de notre visite et c’est le moment où les fidèles se serrent les mains et il en fait de même avec nous.Après la calle de la Ronda, nous irons ensuite admirer la « Compania » de la compagnie des Jésuites dont l’intérieur est couvert d’or, très impressionnant et très beau.

Un papicompleto y une soupe de poissons  et nous prenons un taxi pour nous rendre au panecillo pour voir la vierge qui domine la ville. Retour dans la ville basse pour découvrir l’intérieur du « Palacio del Gobierno qui a été dessiné, cela dit en passant par un architecte Français ; Une Guide nous fait parcourir toutes les pièces et s’efforce de parler lentement afin que nous puissions comprendre .

Cette journée a été bien remplie, nous n’avons pas envie de retourner en ville dans la soirée nous mangerons donc sur place

 

LIMOUX – QUITO
nov
3
2013

Holà,
Nous sommes bien arrivés à Guyaquil. Nous attendons le vol pour Quito et puis au dodo, ici 23 h 30
A bientôt pour plus de nouvelles
Biz

Voilà nous sommes partis …, la mer de nuages, les Pyrénées qui émergent, quelques névés sur les sommets bien visibles, le soleil à travers le hublot et 1 heure  plus tard nous amorçons l’atterrissage.

Madrid, ce grand  aéroport aves ses grands tapis roulants, tout en longueur. une petite sortie vers la LAN pour être sûr que tous les enregistrements sont corrects, le transfert avec le petit train qui nous mène vers la porte d’embarquement « R ».

 le sérieux  commence, le grand  voyage L’avion bouge un peu, Nous avons mal choisi nos places, le plan des réservations n’était pas correct, il nous faut être attentifs pour avoir un bon placement au retour   l’avertissement pour boucler les ceintures s’allume souvent.. Une dinette vers 18 h, Je pense qu’on veut nous faire manger et vite au lit;  je ne me suis pas trompée de beaucoup, vers 19 h 30 l’hôtesse demande si on veut descendre le volet du hublot « no gracias, mirando »  et plus on avance plus on recule dans le temps, nous rajeunissons…. bon enfin oui…de 6 h seulement !

à 20 h 15 extinction des lumières  pourtant dehors il fait grand jour, 21 h  le soleil commence à se coucher , Il est beau ce coucher de soleil ….tu verrais ça Ethan : le ciel bleu, la mer de nuage et l’horizon oranger, dommage que le hublot ne soit pas dégagé pour faire de bonnes photos et puis voilà qu’à 2h du matin toutes les lumières s’allument pour une nouvelle dinette. Quelques parties de tétrix sur l’écran de la LAN, un film aussi pour nous familiariser avec la langue , un autre plus tard sur mon ordi.et la destination de Guyaquil arrive tranquillement. Cette fois c’est vrai, nos bagages arriveront directement à Quito, alors un petit café, la galerie de l’aéroport et un message à nos proches pour les rassurer.

on aurait dû voir les ronds de l’avion…

La porte d’embarquement pour Quito s’ouvre avec un peu de retard, nous nous glissons dans la nuit vers ce dernier appareil de notre voyage aller.Le trajet est rapide et 55minutes plus tard nous entendons la sortie du train d’atterrissage, le pilote attaque la descente mais des nappes de brouillard  se déplacent sur la ville. Tout d’un coup, dans un bruit assourdissant nous nous rendons compte que  le pilote met plein gaz et fait remonter l’avion direct à la verticale. Yves par le hublot a aperçu le toit des maisons, oufff, nous l’avons échappé belle. Le Commandant nous informe qu’en raison des mauvaises conditions climatiques sur Quito il ne peut se poser, il annonce alors qu’il va tourner sur la ville 1h en attendant que cela s’arrange. 1h je ne vous dis pas, j’avais l’estomac retourné…

Ensuite nous n’avons pas trainé, un taxi, installation et dodo

Les préparatifs
nov
2
2013

Aujourd’hui c’est chose faite, les billets sont validés et la confirmation est arrivée.

Nous sommes déjà un peu dans l’ambiance en appelant la compagnie LAN où les Représentants en France ont toujours un très fort accent espagnol.

Le départ est avancé d’une journée (le vol initialement prévu pour le 4 novembre est annulé). Nous partirons  donc le dimanche  afin de conserver des horaires intéressants mais moins bons que ceux qui nous avions initialement prévus.

 Départ Dimanche 3 novembre 2013

10 : 05    TOULOUSE            16 : 50   MADRID                00 : 10   GUYAQUIL             ARRIVEE QUITO 01 : 05

Une  ballade  au pic de Bugarach, pour la dernière ascension dans les Pyrénées avant de contempler les hauts sommets Equatoriens

    

Et ce sac, Martine et Alain, vous le connaissez ?

L’enregistrement de vol est effectué, l’auberge est réservée.

Voilà il n’y a plus qu’à y aller !