Archives mensuelles : décembre 2013

GALAPAGOS – FLOREANA
déc
2
2013

Nous avons rendez-vous à l’agence à 7h50, nous essayons palmes, masque et combinaison. La femme de l’agence nous amène jusqu’au ponton d’embarcation pour un départ à Floréana.

En arrivant sur le port nous rejoignons un groupe dont une dizaine de personnes du Comité d’Entreprise d’AXA à Paris. Comme il parait petit l’Invicta II surtout pour ces 23 personnes qui embarquent, plus que la capacité autorisée.

On me demande de monter sur le pont supérieur car trop de monde à l’arrière. Le petit bâteau très rapide saute sur les vagues. Je me cramponne des deux main ; en bas j’entends des cris lors de ces sauts. Je n’ai pas de gilet de sauvetage et je me garde bien de regarder vers l’arrière du bateau car de le voir en position oblique me rassure envore moins et pourtant nous  sommes deux à avoir les meilleurs places avec le Capitaine.

Deux heures plus tard tout le monde soupire d’être enfin arrivé. Les péripéties de ce trajet comblera toutes les conversations de la jounée.

Nous partons voir les tortues terrestres puis l’ancien village des pirates. Repas tranquille à l’ombre, dans une restaurant au bord de la plage puis nous partons avec palmes, masque et tuba explorer les fonds marins de la plage de Playa Negra – car le sable est noir. Nous voyons quelques poissons, certains auront vu une tortue marine.

GALAPAGOS – BALTRA
déc
2
2013

Debout à l’aube, nous partons en taxi pour l’aéroport de Jose Joachim de Olmeda : route pour les Galápagos.  A l’aéroport nous négocions aux différents guichets, jusqu’à 80 $ de différence sur un ticket. Yves dit qu’il faudra peut-être pédaler pour décoller. Non c’est bon l’A 320 amorce le décollage normalement à 10 h 40 en surplombant Guayaquil. Nous arrivons à Baltra 1 h 30 plus tard . Passage de la douane et réglons 100 $ par personne pour le permis d’entrée puis nous quittons Baltra pour nous rendre sur l‘ile Santa Cruz .

Installation dans notre nouveau logement puis nous partons visiter la station Darwin. Sur la route des Iguanes lézardent au soleil. Nous voulons voir la star de la station « Lonesome  dernière tortue de sa race. Nous apprenons qu’elle est morte il y a un an sans descendance.

Nous observons les tortues. Vous avez vu Ethan et Emie ces grosses bêtes ? Un tour de ville, le marché aux pissons … wAHuuuu vous avez vu *Ethan et Emie ces grosses bêtes , Un tour à la plage où les iguanes sont très nombreux  un tour de ville, le marché au poissons… toutes ces espèces et ces langoustes…. Les pélicans s’amassent pour chercher les restes ?

Le soir nous mangeons rue Charles Blinfort, aux gargottes, super endroit très convivial, les tables sont dressées sur la rue, beaucoup de monde, bonne ambiance et beaucoup de choix entre les langoustes, les poissons, les viandes cuites au barbecue. Nous choisissons une cazuela avec une queue de langouste dedans.

 

CUENCA – GUYAQUIL
déc
2
2013

Restés sur notre faim à Sigsig , nous partons découvrir ne nouvelle fabrique de chapeaux à Cuenca : la Casa del Sombrero. Nous nous rendons au marché place de 9 de Octobre, à la Casa de la Mujer et au centre artisanal.
Nous récupérons nos sacs à l’hôtel et montons au premier étage pour communiquer avec Ethan et Emie. Ils ont été surpris lorsque la gérante de l’hôtel leur a parlé en espagnol sur skype.
A 14 H notre bus prend la direction de Guyaquil. Nous avions demandé une place à l’avant du car, nous n’avons pas été déçus, nous sommes assis aux premières places avec devant nous une vue ouverte sur l’avant du bus, ce qui nous permet d’admirer ces beaux paysages de montagne, nous traversons le parc national Cajas, quelques passages de col à 4 000 m.puis nous arrivons dans la plaine : bananeraies et cacao à perte de vue, nombreux baigneurs à chaque Rio que nous traversons. Un chaland monte dans le car et vend d’énormes tranches d’ananas (0,50 $) très juteuses…hummm
Arrivés à Guyaquil, le chauffeur de taxi nous mène à l’adresse de residentiale que nous lui avons donné. L’hôtel a changé de nom et de propriétaire et c’est maintenant un quatre *. Le chauffeur nous en indique un autre un peu plus loin ; c’est sûr, ce n’est pas le même style. Notre chambre est située au premier étage, à quatre mètres en face d’un autopont.
Il n’y a rien d’ouvert dans le secteur à part un genre de bodega avec écran géant sur un match de foot. Nous marchons jusqu’à un fast food où la clim est poussée à l’extrême.

CUENCA – SIGSIG
déc
2
2013

Cuenca est une ville agréable de 400 000 habitants située à 2500 m d’altitude. Son centre historique est  classé au patrimoine mondial de l’humanité. C’est là que l’on fabrique le célèbre chapeaux et où la tradition régionale du tissage du panama est séculaire. On utilise pour cela des feuilles de paja toquilla. Il fait huit heures pour un chapeau de base et jusqu’à six mois pour un « fino »

Nous visitons la fabrique  El Barranco où nous voyons la mise sous presse et la couture du fameux chapeau.

Nous rendons en car au village de Sigsig où se tient une coopérative du Panama qui serait l’endroit le plus intéressant à visiter. Nous sommes déçus, il semblerait que cette activité soit ici au ralentit où alors  ce n’est pas le bon jour ! Partout dans les rues nous apercevons des femmes qui tissent le chapeau, elles le font même en marchant.

Nous ne nous attardons pas et nous rendons à Choldeberg réputé pour son travail d’orfèvrerie. En effet, les bijouteries sont collées les unes aux  autres sur tout le tour de la place.

De retour à Cuenca nous réussissons enfin à  partager des connexions sur skype puis nous faisons des tours de ville et des artisans.

Nous mangeons à l’indigo car j’avais envie d’une soirée musique, pas de chance l’estrade est vide, les groupes ne se produisent que le jeudi, vendredi et samedi ;