Holà,
Nous sommes bien arrivés à Guyaquil. Nous attendons le vol pour Quito et puis au dodo, ici 23 h 30
A bientôt pour plus de nouvelles
Biz
Voilà nous sommes partis …, la mer de nuages, les Pyrénées qui émergent, quelques névés sur les sommets bien visibles, le soleil à travers le hublot et 1 heure plus tard nous amorçons l’atterrissage.
Madrid, ce grand aéroport aves ses grands tapis roulants, tout en longueur. une petite sortie vers la LAN pour être sûr que tous les enregistrements sont corrects, le transfert avec le petit train qui nous mène vers la porte d’embarquement « R ».
Là le sérieux commence, le grand voyage L’avion bouge un peu, Nous avons mal choisi nos places, le plan des réservations n’était pas correct, il nous faut être attentifs pour avoir un bon placement au retour l’avertissement pour boucler les ceintures s’allume souvent.. Une dinette vers 18 h, Je pense qu’on veut nous faire manger et vite au lit; je ne me suis pas trompée de beaucoup, vers 19 h 30 l’hôtesse demande si on veut descendre le volet du hublot « no gracias, mirando » et plus on avance plus on recule dans le temps, nous rajeunissons…. bon enfin oui…de 6 h seulement !
à 20 h 15 extinction des lumières pourtant dehors il fait grand jour, 21 h le soleil commence à se coucher , Il est beau ce coucher de soleil ….tu verrais ça Ethan : le ciel bleu, la mer de nuage et l’horizon oranger, dommage que le hublot ne soit pas dégagé pour faire de bonnes photos et puis voilà qu’à 2h du matin toutes les lumières s’allument pour une nouvelle dinette. Quelques parties de tétrix sur l’écran de la LAN, un film aussi pour nous familiariser avec la langue , un autre plus tard sur mon ordi.et la destination de Guyaquil arrive tranquillement. Cette fois c’est vrai, nos bagages arriveront directement à Quito, alors un petit café, la galerie de l’aéroport et un message à nos proches pour les rassurer.
La porte d’embarquement pour Quito s’ouvre avec un peu de retard, nous nous glissons dans la nuit vers ce dernier appareil de notre voyage aller.Le trajet est rapide et 55minutes plus tard nous entendons la sortie du train d’atterrissage, le pilote attaque la descente mais des nappes de brouillard se déplacent sur la ville. Tout d’un coup, dans un bruit assourdissant nous nous rendons compte que le pilote met plein gaz et fait remonter l’avion direct à la verticale. Yves par le hublot a aperçu le toit des maisons, oufff, nous l’avons échappé belle. Le Commandant nous informe qu’en raison des mauvaises conditions climatiques sur Quito il ne peut se poser, il annonce alors qu’il va tourner sur la ville 1h en attendant que cela s’arrange. 1h je ne vous dis pas, j’avais l’estomac retourné…
Ensuite nous n’avons pas trainé, un taxi, installation et dodo
Salut Mimi, salut Yves. Qu’elle aventure !! Heureusement que ce genre de chose ne nous est pas arrivé lors des vols intérieurs au Pérou…… Je crois que Sylvie aurait refusé de repartir ! très bonne continuation et à bientôt de vous relire. Gros bisous à tous les deux.
Coucou, je vous dis pas, pendant 1 h lorsqu’il faisait des ronds au dessus de Quito, comme j’avais l’estomac retourné…. et puis on se disait pourvu qu’il réussisse cette fois. Biz
Vous avez effectué une fin de voyage comme sur un manège de la foire du trône,bonjour la frayeur, espérons que tout va bien bisous Martine Christian
Oui c’est bon, nous avons oublié maintenant, on verra pour le retour…biz
tient y a un site ^^