OTAVALO
nov
8
2013

Voilà, changement de direction  OTAVALO qui, avec  ses 90 000 habitants, est situé à 2580 m d’altitude. Les Otavalenos sont peut-être les seuls Indiens à avoir su garder leur identité grâce au commerce ils ont su maintenir leur culture et leurs traditions.

Discussion  autour d’un petit déjeuner avec un couple de Français qui habite Sète. Nous échangeons sur nos visites respectives.

Trop chargés pour prendre le bus, nous nous rendons au terminal en taxi 8 $. Nous nous apercevons rapidement que nous sommes montés dans Taxi 2.

Il n’y a pas de car pour Cayambe, alors nous filons directement sur Otavalo.. Dans le car Yves est en grande conversation avec un Argentin

Nous longeons la Laguna San Pablo dominée  par l’Imbabura. Dès notre arrrivée à Otavalo, il y a beaucoup  d’animation.  Par taxi 1 $, nous nous rendons à notre nouveau domicile « Cabana Rocio ». Peur en arrivant, vu de l’extérieur, puis agréablement surpris par cette hospidaje : chalets entourés d’un très beau parc.

Installation rapide puis visite du  centre. En traversant le pont qui y mène, je suis abordée par une vieille Otavalenas qui vient vers moi et me demande de l’argent. Comme je lui refuse elle tend nerveusement la main vers l’étui de mon appareil photo que j’ai attaché à la ceinture, j’ai du la repousser et elle a un visage agressif qui m’a contrarié. Je suis restée sur mes gardes une bonne partie de l’après-midi.

Découverte  du centre. Nous entendons de la musique et nous tentons de nous rapprocher pour voir ce qui se passe. Nous voyons un défilé surtout d’enfants pour fêter un centenaire des écoles , passage à une agence dont le responsable s’appelle Georges, ce qui nous rappelle de bons souvenirs, nous le lui racontons que nous avions un accompagnateur au Chili qui portait ce nom et avec qui nous avions passé de très bons moments… Nous réservons un guide pour dimanche qui nous accompagnera au Fuya Fuya.Une pause chocolat, cerveza. En chemin à travers les rues , nos regards sont attirés par la décoration des lampadaires.

Le soir nous mangeons dans le restaurant où nous regardions la carte lorsqu’ un Français arrêté à cet endroit nous a dit que la cuisine y est bonne. Pour cette raison mais surtout parceque nous désirons partager une soirée musicale traditionnelle nous décidons de manger ici.