El Calafate – El Chalten
nov
29
2008

Chargés comme des mulets nous regagnons le terminal de bus situé à environ 500 m pour prendre le bus qui nous conduit par une piste, puis par une route asphaltée jusqu’à El Chalten : il tangue fortement (certes en France, il serait interdit de rouler).

Après 2h de route nous arrivons dans un splendide paysage de montagnes enneigées (dommage, nous n’avons pas pris les skis !) et nous suivons le lago Viedma dans lequel se déverse le glacier du même nom,

nous le contournons ensuite et arrivons à l’entrée du parc national los glaciares.

Les gardiens du parc nous attendent pour nous dresser une courte présentation des règles de respect du parc, nous montrent sommairement la carte et les chemins principaux  et informent sur les risques de certaines randonnées. Je ne sais pas pourquoi je pense que la randonnée la plus longue sera pour nous demain…

Le chauffeur du car en profite pour se détendre en buvant du mate avec un contrôleur du parc.


Nous voici arrivés à El Chalten vers midi, une petite pause repas et nous découvrons ce village de 600 habitants environ. Le routard décrit cet endroit comme étant magique, un petit village au bout du monde, posé au coeur des Andes, au pied du Fitz Roy et nous avions envisagé un visage différent. Nous sommes un peu déçus par ce que nous voyons : urbanisation de tous côtés, ici le vent est très violent et la poussière vole en tous sens…

Demain nous partons en randonnée au Fitz Roy.

samedi 29 novembre 2008

El Chalten – Fitz Roy
nov
30
2008

Nous voici partis pour l’ascension du Fitz Roy dont le sommet ne culmine qu’à 3405 m. C’est cependant une montagne qui est considérée, encore aujourd’hui, comme une des plus difficiles au monde en raison des conditions climatiques, des vents violents et de ses pentes raides.

Dès que nous prenons un peu de hauteur, nous évoluons dans un paysage de toute beauté : l’étape du jour nous conduit aux pieds du Fitz Roy.

 

 

Une première halte pour la vue sur le village, à 9 h le soleil cogne déjà très fort. Le jeu des piverts, le grand claquement de leur bec dans les arbres  ainsi que les troncs creux nous amusent beaucoup.

                            

Nous arrivons  au-dessus des lagunas Capri et Madre qui se dessinent en contrebas colorées d’un joli bleu.

Les paysages sont magnifiques, l’eau transparente, le Fitz majestueux tapisse l’horizon

   

La dernière heure de l’ascension est interminable, pentue et caillouteuse (merci à Frederico d’avoir réduit la taille des rochers) et lorsque l’on croit être arrivés, il y a une nouvelle pente, puis une troisième…

Nous arrivons enfin à la laguna des «los tres» qui nous dévoile un panorama extraordinaire sur le Fitz Roy. Nous nous posons là un petit instant et pendant que j’admire le paysage, Yves passe sur un monticule de pierre qui donne un point de vue sur la laguna Sucia.

   

Deux condors  planent au-dessous de nos têtes (el condor pasa dit Yves), il fait trop chaud pour manger ici nous attaquons donc la descente bien-sûr glissante et pentue et qui nous paraît ensuite sans fin : nous arrivons 10 h plus tard au terme de notre randonnée.

   

L’eau qui se coupe à plusieurs reprises sous la douche, une rapide sortie dans le village car nous avons suffisamment marché dans la journée, un petit resto steack/salade/frites et pas de mise à jour des photos sur le blog car le débit est trop limité, nous terminons la soirée thé ou bière à la cuisine de la residenciale Aoniken à échanger avec les routards. Yves revend le réchaud dont on ne servira plus et qui dépanne une jeune de Pau qui fait un tour du monde en solitaire.

dimanche 30 novembre 2008

El Chalten – Perito Moreno
déc
1
2008

Nous avons demandé un taxi pour 8h30, nous pourrons faire la grasse matinée et c’est  Renaud (c’est  le nom que nous lui avons donné car il ressemble au chanteur, en plus jeune, pantalon noir rayé de blanc et bandana noir sur tête) le Patron de la residenciale que l’on voit arriver.

Nous l’avons  vu la veille, vers 22 h nettoyer sa voiture pendant qu’il nous avait prêté des lunettes pour voir les astres. C’est lui qui nous amène au terminal de bus. En route lorsque nous croisons un car de notre compagnie il nous dit «il est déjà parti… vous devrez rester à El Chalten !». A notre interrogation, il explique qu’il y a 10 ans il n’y avait presque rien dans ce village, qu’une politique d’aide à la construction est en cours : voilà pourquoi il y a tellement de chantiers ici et comme les Argentins se font eux-même leur bâtisse, cela prend plus de temps et l’éloignement fait que les matériaux sont déposés un peu partout.
Nous voici dans le car en direction de la ville de Perito Moreno (destination stratégique pour éviter le retour à El Calafate, une route cimentée, une piste puis rapidement la mythique «ruta 40» qui n’a de route que le nom car il s’agit de terre et de cailloux. Nous apercevons des nandus, le chauffeur de car klaxonne pour chasser des guanacos au milieu de la route et sur le bord, des vaches, des chevaux., des moutons.
Une courte halte où des ampenadas ou des pizzas nous sont proposées, en repartant, Yves voit des mirages : effet d’optique ou cerveza ?
A 15 h nous faisons une nouvelle halte au milieu de nulle part «rio Chico» où nous descendons pour 10 minutes : dehors il fait 35 °.. Le chauffeur aperçoit un amarillo,  Il  stoppe le car et  le poursuit à grandes enjambées pour le capturer afin que nous puissions le voir. Après une séance de photos,

l’animal retourne dans son espace naturel pendant que nous continuons sur la «ruta 40» en longeant la Cordillère des Andes. A 127 kms de l’arrivée, nous apercevons un tronçon de route en cours de bitumage, il est 18 h et le soleil est de braise et nous effectuons notre dernière halte. La fin du voyage nous paraît longue..nous avons fait 582 kms, nos sacs sont pleins de poussière lorsque nous les sortons de la soute à 20h 45.


Nous prenons un taxi à qui nous demandons de nous amener à un hotel pas cher, Diego le chauffeur en connaît un et nous faisons affaire, nous passerons la nuit au Santa Cruz.
Demain, nous voulons visiter les «cuevas de los manos»,nous partons à la recherche d’un office de tourisme à 21h 30 c’est  pas gagné ! Les 2 que nous ont indiqués les habitants sont fermés, à 21h45 nous prenons un taxi pour une dernière tentative. Yves demande au chauffeur s’il connait un moyen pour visiter la grotte, celui-ci se renseigne par radio et c’est ainsi que nous voyons arriver Diego, le chauffeur du 1er taxi qui s’est déplacé pour nous renseigner. Nous réservons les places  et nous offrons une bière à Diego qui devient notre amigo, nous passerons un bon moment attablé avec lui et ses amis, à discuter de choses et d’autres dans notre espagnol très approximatif mais vivement encouragés par eux à poursuivre… Nous mangeons ensuite à ce même endroit steak/escalope milanaise/salade/frites et nous regagnons l’hotel vers minuit.

P.S : Bienvenue a Léandre et félicitations aux parents (même au bout du monde, les nouvelles circulent)

lundi 1er decembre 2008

Perito Moreno – Las Manos
déc
2
2008

Comme il nous l’avait dit la veille, Diego vient nous chercher à l’hotel à 6h50 et nous amène au point de départ de l’excursion afin que nous puissions déjeuner tranquille. Il repart ensuite faire la tournée de ramassage des autres hôtels. Nous partons à 7h pour visiter les «cuevas de los manos» et nous reprenons la «ruta 40» en sens inverse de ce que nous avons fait la veille.

Partis depuis environ 45 mn, il semble qu’une roue du minibus soit crevée…en fait, il s’agit d’un caillou qui s’est coincé entre la double roue, plusieurs personnes prêtent assistance pour dépanner.

Nous arrivons sur notre lieu de visite à 11h 15, je demande au chauffeur s’il fait froid à l’intérieur de la grotte et lorsqu’il me répond «aussi chaud qu’ici» je n’ai pas compris de suite…en fait, dans le canyon très pittoresque du Rio Pinturas, les peintures préhistoriques qui représentent des mains et des animaux sont visibles sur les parois de la roche. Ce site est le plus important site rupestre de la Patagonie inscrit au patrimoine Culturel de l’humanité.

 

   

A13h15 nous prenons le chemin du retour, après avoir mangé les sandwichs préparés par la compagnie de car, il fait très chaud …et nous arrivons à 17 h.

Nous partons prendre les informations pour la suite du voyage : il semblerait qu’une éruption de volcan a décimé un village : chaïten et nous avons la possibilité de nous rendre au Chili en passant par Chile Chico puis un barco, (un bateau certainement qui nous fait traverser et puis ??? personne ne sait nous renseigner parmi les 3 agences consultées.

Nous jouons donc la sécurité et nous prendrons demain un billet pour aller soit à Esquel soit à Bariloche, le départ sera fixé à 17 h et arrivée à 3h pour la 1ère destination et à 8 h pour la 2ème. Nous allons voir une 2ème compagnie qui fait ce trajet dans la journée sinon nous reviendrons demain matin réserver une place, mais attention il n’en reste que 3.

Les indications qui nous ont été fournies ne sont pas exactes, l’autre compagnie n’a pas de transport demain pour cette destination. Nous prenons donc notre repas, comme les précédents à l’hotel Belgrano qui sert également de terminal pour la compagnie de transports El Chalten Bus. 

Perito Moreno – Bariloche
déc
3
2008

Nous vidons la chambre, nous déposons nos bagages au  bar de l’hotel et nous partons à 9h45 (1/4h avant l’ouverture) au terminal de bus afin d’obtenir 2 des 3 dernières places pour cet après-midi. Une petite frayeur car sur l’ordinateur est déposée une affiche manuscrite «2 places à réserver – trajet Bariloche 3/12)… Non tout est O.K, les places 35 et 36 nous sont allouées, nous pouvons prendre tranquillement notre petit-déjeuner même s’il se fait un peu tard.
La ville de Perito Moreno est tout en longueur, que de fois nous aurons longé cette rue San Martin (il faut savoir qu’en Argentine une grande majorité des rues principales s’appellent comme celà) et il n’y a pas réellement de centre ville, nous ne trouverons pas non plus de resto pour manger le midi. Nous réussissons malgré tout à acheter quelques provisions pour la route qui va être longue (823 kms). Nous tombons sur des ouvriers qui sont entrain de repeindre la bande blanche .

Nous récupérons nos bagages au bar du Santa Cruz et nous demandons au patron d’appeler un taxi : «conoce un taxi rojo con un hombre que se llama Diego ?» Celui-ci arrive rapidement et rigole en nous voyant, il nous apporte au terminal, grandes embrassades et nous partons pour ce périple sur la ruta 40 à  17h10.

La piste défile au fil des heures avec un paysage à perte de vue toujours identique. Un nouveau problème de caillou, semble t’il…mais l’incident est vite rétabli, une halte à minuit, à 4 h, nous dormons de temps à autres, des films défilent sur l’écran, la clim nous frigorifie et nous récupérons une polaire dans la soute du car.
Comment fait le chauffeur pour conduire sur la piste en pleine nuit ? Il n’y a pas de bande blanche….il n’y a rien juste une route en terre et cailloux en plein milieu de la steppe et de temps en temps nous sommes tellement secoués que nous craignons que le car ne soit déstabilisé….

mercredi 3 décembre 2008

Bariloche
déc
4
2008

Nous arrivons enfin à Bariloche à 9h30 ; demain nous quitterons définitivement l’Argentine pour terminer notre voyage au Chili. Nous réservons donc, tant que nous sommes au terminal de bus,   notre billet pour Puerto Montt. Un taxi ensuite nous emmène à notre nouvelle résidence du jour : Alojamiento en plein centre ville, un petit déjeuner puis nous flânons dans la ville. Certes, il n’y a rien de particulier à faire ici sur une durée d’une journée mais il s’agit surtout d’une étape pour se reposer des 16 h de bus que nous venons d’effectuer, même si Yves aurait bien enfilé, dans l’après-midi la continuité du trajet soit 6h grand minimum !
On appelle aussi la ville de Bariloche, la Suisse Argentine en raison de son peuplement pionnier originaire d’Europe Centrale et le paysage est composé de lacs, montagnes aux sommets enneigés, forêts de sapins, chalets en bois mais c’est aussi la ville du chocolat : nous ne dégusterons un très délicieux…

Il y a aussi le coeur administratif de la ville, au bord du lac Nahel Huapi où il beaucoup de monde, les propriétaires de Saint Bernard proposent la photo avec leurs chiens, qu’ils élèvent dans ce but, moyennant pesos.

   

jeudi 4 décembre 2008

Bariloche – Puerto Montt
déc
5
2008

Nous voici dans le car à 9 h pour la destination de Puerto Montt (Chili). Nous traversons une région très verte (cela nous change de la ruta 40),des fleurs de toutes parts, des lacs et des volcans enneigés.

 

 

Au contrôle de sortie d’Argentine le chauffeur fait l’appel et il faut se mettre en suivant à la queuleuleu (un dos, un dos)!!!
A la frontière Chilienne, c’est encore une autre histoire : fouille de bus, passage au tapis de détection de tous les sacs… bon cette fois c’est O.K.
A chaque fois que l’on fait un déplacement en bus, il faut le surveiller de très près car tout d’un coup le chauffeur monte et part (le moteur est rarement coupé) et nous venons juste de laisser en arrière deux jeunes filles, heureusement que quelqu’un à alerté et le bus les a attendues.
Dès notre arrivée à Puerto Montt nous sommes assaillis par des propositions de chambres d’hotel, nous cédons à l’une d’elle qui nous semble d’un bon rapport qualité/prix. Le Porteur charge nos sacs sur un «diable» et nous le suivons à travers la ville jusqu’à notre prochaine résidence «la Nave» qui est correcte et propre.
Puerto Montt se révèle être une ville très populaire qui tranche beaucoup avec celles que nous avons traversées jusqu’ici, des camelots tout le long des rues ou dans les galeries, la zone portuaire et tout à côté une grande affluence à la gare des bus qui ne désemplit pas aux alentours.
Le soir nous prenons notre dîner au restaurant de l’hotel qui nous semble être le plus correct.

vendredi 5 décembre 2008

Reg Puerto Montt – Ile de Chiloe
déc
6
2008

Il semble que beaucoup de Chiliens prennent leur petit déjeuner dans les bars avec leurs enfants mais nous n’y avons jamais rencontré de femme ni de filles !
Nous avons laissé une partie de nos bagages à l’hotel «la Nave» non sans un peu de mal, i a fallu négocier… et le bus nous amène à Castro, capitale de l’ile de Chiloe dont la traversée s’effectue par le bac. Lors de notre arrivée vers 13 h nous cédons une nouvelle fois à une proposition de chambre qui est très bien et très propre.

Nous décidons de manger sur le quai des spécialités portuaires  et nous commandons un «curanto» sorte de plateau de fruits de mer avec moules et palourdes géantes et «paila marina» mélange dans le jus de cuisson de moules, de saumon… nous n’avons pas été conquis : loin de valoir  les fruits de mer de la région Normande !

Juste en face du resto, un petit marché artisanal où nous parcourons les allées, nous craquons devant des bonnets et gants et en achèterons pour Léandre et Roméo.

 

Nous nous dirigeons à pied vers les maisons sur pilotis : «palafitos», dommage que la marée soit basse. Un petit coucou a Roberto pour les chalets de Gruissan.

En fin d’après-midi il y a effervescence dans les cafés et restaurants car il y a un match de football : on peut mesurer ici l’ampleur de ce sport sur la population.
Nous finirons cette journée bien remplie sur une pizza/cerveza.

 

P.S : merci Nono et Ben pour les photos 

samedi 6 décembre 2008

Region Puerto Montt – Dalcahue
déc
7
2008

Dalcahue son nom vient des longues chaloupes effilées à voile de laine, les dalcas, que fabriquaient ici les indiens.
Le mini-bus qui nous y amène se remplit de personnes qui transportent des marchandises, peut-être vont-ils au marché ? Une chose étrange, au bord de la route les gens font signe au chauffeur qui s’arrête, il n’est pas rare d’en voire tous les 50 ou 100 m. Le car se remplit rapidement, je laisse ma place à une femme qui porte un petit, son mari pose des cartons sur elle et donc sur les genoux du petit. Me voici assise sur les genoux de Yves, les cartons appartenant à un jeune couple à ses pieds. Le car déborde et les gens sont debout au milieu.
Nous faisons le tour du village et du port , les pêcheurs débarquent leur cargaison de pêche,

un petit marché artisanal où encore nous n’achèterons rien et un marché à tout et à rien.
La visite de l’église en bois d’alerce qui date de 1850.

Nous mangeons dans un petit resto sur pilotis en bordure de mer mais nous ne renouvellerons pas l’expérience des moules et palourdes. Nous nous régalons avec le poisson frit.

Nous nous renseignons  sur la raison pour laquelle il n’y a pas de lumière dans le village depuis notre arrivée ; il s’agit d’un incident et la desserte en électricité ici est sporadique nous dit-on  ; lorsque  nous partirons vers 15 h elle n’a toujours pas été rétablie. Nous lézardons sur un banc en attendant le car qui nous amènera à Puerto Montt où nous nous promènerons dans une autre partie de la ville, plus agréable celle-là…

dimanche 7 décembre 2008

Reg Puerto Montt – Villarica
déc
8
2008

Lorsque nous arrivons au resto de l’hôtel pour prendre notre petit déjeuner… c’est fermé. Le veilleur de nuit nous explique que c’est aujourd’hui fête religieuse… nous partons donc à la recherche d’un  desayuno qui nous sera servi dans un hotel relativement luxueux… là c’est la faim qui commande !

 

A 10 h 30 nous sommes installés dans le bus en direction de Villarica ; nous aurions aimé voir et faire encore tellement de choses… une semaine supplémentaire nous serait nécessaire !

Nous avons choisi cette destination d’abord parce qu’elle nous rapproche de Santiago du Chili mais aussi pour son volcan qui porte le même nom : nous aurons bouclé le circuit puisque nous sommes dans la région des lacs celle dont nous avions pris les photos d’avion à l’aller.

Ici peu de touristes, nous avons eu du mal à trouver un hôtel car la saison touristique n’est pas encore commencée et la plupart des hospetajes sont fermées. Notre chauffeur de taxi est très sympa et patient et nous avons trouvé un super gite, une maison presque pour nous cuisine, chambre, salon, salle à manger.

La ville est très agréable, nous sommes à deux pas du lac qui lui aussi, est superbe avec sa plage de sable noir, plusieurs personnes s’y baignent, il fait tellement chaud ! Et moi (m) j’ai envie d’y aller car l’eau est assez bonne. Le volcan a le tête un peu dans les nuages.

Après une bonne promenade, nous ferons quelques courses et cuisinerons notre repas dans notre nouvelle résidence, tout en un : omelette, oignons, pomme de terre, tomate le tout arrosé d’une bonne bouteille de vin.

Une petite promenade digestive dans la soirée pour voir si le volcan nous envoie des signaux de fumée…

lundi 8 décembre 2008